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Je déteste les ponts… Je déteste les ponts quand, lui peut cumuler quelques jours et moi pas…
En ce moment, avec tous ces collègues en vacances, impossible de prendre une journée. Lui , a eu la chance de pouvoir poser quelques jours, et tant mieux ! Je le trouvais fatigué malgré notre semaine de vacances du mois dernier.
Il profite de ces quelques jours de repos pour les passer dans sa famille située à quelque sept-cents kilomètres de chez nous. Je reste donc seule quelques jours vu que, de toute façon, je bosse, et qu’en plus, j’ai largement de quoi travailler le soir à la maison.
Je le dépose à la gare le jeudi matin. Après avoir échangé quelques baisers passionné, le train part. On échange des sms, on se téléphone tous les soirs. Tout se passe très bien pour lui et plutôt bien pour moi. Je travaille beaucoup à la maison, en plus de mes horaires. Il me manque cruellement. Mardi soir arrive enfin. Je l’attend sur le quai de la gare. Impatiente, je maudit la SNCF qui n’est jamais à l’heure.
Le train arrive enfin, je le vois au loin, je cours et lui saute au cou. Comme si, enfin, on me rendait mon oxygène et que je pouvais de nouveau respirer. Il est plutôt silencieux pendant le trajet retour. La fatigue du voyage et du week-end probablement.
De retour à la maison, je pensais qu’il allait s’occuper de moi, me chouchouter, comme il le fait si bien et non… Il peste contre la vaisselle de ce matin qui n’est pas faite, contre le linge qui n’est pas repassé, contre le lit qui n’est pas fait. Mais, au lieu de lui expliquer que ce matin je me suis levée en retard et que je suis allée le chercher directement à la gare, je hausse le ton sans vraiment m’en rendre compte. Je suis frustrée qu’il ne m’ait pas encore prise dans ses bras. Frustrée qu’il ne m’ait pas embrassée fougueusement, frustrée qu’il ne prête attention qu’à la vaisselle et au lit plutôt qu’à moi.
Je commence à l’inonder de reproches infondés et injustes toute en colère que je suis mais il ne me laisse pas vraiment le temps de persévérer dans cette voie. Il me prend par la main. Je tente d’enlever ma main de la sienne mais il la serre relativement et je n’y arrive pas. Il fait quelques pas en direction du canapé, s’assoit et me bascule en travers de ses genoux.
Hors de moi, je lui ordonne de me lâcher mais, bien sûr, il n’a que faire de mes ordres. Dans ces moments là, c’est lui le chef. Prestement, il retrousse ma jolie robe noire. Je tente de me recouvrir le postérieur mais en vain… Il attrape mes mains qu’il plaque au creux de mes reins et les maintient fermement de sa main gauche. Il commence à me donner quelques claques alternativement sur chaque fesse. Je continue de crier.
Voyant mon état de stress et de fatigue, il sait qu’il faudra quelques minutes avant que je commence à me calmer. Il accélère le rythme et la puissance. Mes plaintes sont de plus en plus faibles et de plus en plus espacées. Habilement, il fait glisser mon boxer en dentelle fuschia jusqu’à mes genoux. Je gigote dans tous les sens, tentant de me soustraire à la punition (bien méritée même si, sur le moment, je n’en ai pas conscience). Mon fessier est déjà bien chaud, je le sens.
Il continu, alternant fesse droite, fesse gauche. Il accélère la cadence. Il frappe plus fort aussi. J’ai fini de crier, j’ai stoppé toute tentative de fuite. Je suis là, couchée sur ses genoux, les fesses à l’air, rougies par ses mains. Je ne pense plus. Je suis juste capable de ressentir. Mes fesses commencent à me brûler.
J’oscille entre plaisir et souffrance. Frustration et désir. Après tout c’est pas ce que je voulais ? Qu’il s’occupe de moi ? Bah voilà finalement j’ai gagné ! Même si, au début, je voulais qu’il s’occupe de moi différemment. Je ne me plaint pas. Ce style de vie nous l’avons choisi ensemble, ou plutôt, il s’est imposé à nous. Les règles ont été réfléchies et approuvées ensemble aussi.
Les claques continuent de pleuvoir sur mes fesses. Je ne sais même plus s’il alterne ou s’il peaufine son œuvre. Je sens quelque chose qui se brise en moi. Comme une barrière qui contient toute la fatigue et la frustration accumulée depuis une bonne semaine. Les larmes roulent sur mes joues. Silencieuses. Est-ce qu’il sait que je pleure ? Je l’ignore mais le rythme ralenti et les claques se transforment en caresses. Il connait mes limites, je le sais. Après m’avoir caressé les fesses, il me relève et m’ordonne de me mettre au coin dans LA position. Le ton est ferme mais doux à la fois.
Je m’exécute. Je rejoins le coin du salon réservé aux fins de punition. Je me met à genoux, légèrement penchée en avant pour que mes fesses soient bien visibles. Je prends le bord de ma robe dans une main pour ne pas lui cacher la vue sur son œuvre. Je mets les mains sur la tête. Je réfléchis. Je sais qu’il va me poser des questions et que j’ai intérêt d’avoir les bonnes réponses. Je prépare ma « défense » comme le ferait une avocate. Je ne sais pas combien de temps je suis restée dans cette position humiliante et très inconfortable mais il m’a paru bien long…
Une fois qu’il a jugé que j’avais eu le temps de réfléchir, il me demande de revenir. Il est toujours aussi dans le canapé. Je rampe jusqu’à lui, les fesses à l’air et le boxer au dessus des genoux. Je regarde le sol. Je prend place devant lui, les fesses posées sur les talons, les mains sur ses genoux, les yeux fixant mes mains et j’attends.
- Tu es calmée ?
Je hoche la tête pour lui signifier que oui.
- Tu as une langue, il me semble.
- Oui dis-je timidement toujours occupée à fixer mes mains.
- Tu sais pourquoi tu as été punie ?
- Oui, toujours sur le même ton
- Pourquoi ?
- Parce que j’ai été insupportable, que j’ai crié alors qu’il n’y avait aucune raison de le faire.
- Bien. Ta fessée était-elle méritée ?
- Oui.
- As-tu autre chose à ajouter ?
- Merci.
J’ai su que c’était les réponses qu’il attendait quand il a pris mes mains dans les siennes. Il m’a relevé et m’a assis sur ces genoux. J’ai enfouie mon visage dans son cou. Il a passé ses bras autour de ma taille et m’a caressé doucement les fesses. J’ai pleuré. Il a passé sa main dans mes cheveux pour m’apaiser. Et, quelques minutes plus tard, je me suis endormie.
Il a très vite compris ce dont j’avais besoin, bien avant moi d’ailleurs. J’ai beaucoup de chance de partager la vie d’un homme aussi attentif et attentionné.
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